Ne dites plus « influenceur »…

J’étais hier 26 juin 2019 à l’inauguration des nouveaux locaux de Movietown. Et ce fut une top soirée ! le genre de soirée, où tu te dis , purée, déjà 3h du mat ! J’étais accompagné pour l’occasion de ma super copine Gisèle Roosels, maîtresse des chiffres , voyageuse au long cours et incontournable icone des aides et subsides à Bruxelles, .. A notre arrivée.. premier effet waaaow… Les 3 fondateurs avaient mis les petits plats dans les grands, … le phénomène de la french touch, Bon Entendeur,  N°1 sur Spotify et Apple Music depuis ce mois juin, était présent pour mettre le feu à la soirée, .. côté bar et boissons, les « mixologistes » , barmans vintage , sortis de l’univers de Magritte, servaient des cocktails élyséens et subliminaux, etc…… et puis il y avait également ceux que l’on appelle désormais « les influenceurs ».  

Oubliez l’image de la fille ado qui se fait un selfie de son maquillage

Je vous confesse que je n’aime pas le mot « influenceur ». Il est, à mon humble avis, mal choisi. Ce qualificatif renvoie à l’idée que nous ne sommes pas maître de nos choix, que nous sommes faibles, et influençables.  Mais au-delà de la forme , il y a le fond et pour paraphraser Michel Audiard,  « ne prenez jamais les gens pour des personnes influençables mais n’oubliez jamais qu’elles le sont ».

La réalité, le glissement des audiences.

Car l’influence existe depuis toujours… ce qui a changé, ce sont les médias. On ne lit plus, on regarde moins la télé.  La première chaîne de télévision au monde s’appelle YouTube. 2016 : 1 milliard d’utilisateurs actifs par mois, 2017 1,5 milliard d’utilisateurs actifs par mois, 2018 2 milliards d’utilisateurs actifs par mois….  Ce n’est donc pas une surprise de lire qu’en 2018, 52% des marques ont augmenté leur budget d’influence marketing par rapport à 2017, et 74% prévoient une augmentation pour 2019.  

Dites-moi quelque chose que je ne sais pas encore

Vous pouvez, comme marque, vous lancer seule dans l’aventure de l’influence. Pour cela, il est nécessaire de vous poser des questions essentielles et travailler en 4 étapes

1) Pourquoi intégrer le marketing d’influence à votre stratégie ? Est il adapté à notre entreprise ? Quelles sont les personas de nos cibles ? Quels sont les mots clés et les sources à surveiller sur les médias sociaux et le web en général ? quelle est leur volumétrie ? ….  

2) La deuxième étape est de faire une cartographie de l’écosystème d’influence. Analyse des différents émetteurs de message dans ses segments cibles par audience, pertinence et engagement sot les piliers de cette phase.  Il faut alors analyser le réseau des influenceurs, c’est-à-dire leurs relations avec les autres influenceurs, les marques, les médias et les internautes.

3) Il faut catégoriser les influenceurs, mesurer leur influence et leurs centres d’intérêts au sein du segment, ainsi que leur profil socio-démographique. Ensuite, il s’agit de d’identifier sa propre échelle de micro-influenceurs. Celle-ci peut varier en fonction de plusieurs secteurs (secteur, réseau social…). En troisième lieu, l’analyse des KPI clés pour chaque réseau social permettra alors de sélectionner les influenceurs les plus pertinents : l’audience, le taux d’engagement, le nombre de mentions sur les sujets concernés…

4) Enfin, il faut mettre en perspective les modes de collaboration possible avec l’influenceur (plateformes d’affiliation, etc.. )

SI vous voulez plus d’info, je vous encourage à aller voir les studios de Movietown, c’est avenue de la couronne au 242 à Ixelles.. demandez Ralph, Nathalie ou Michel. Vous verrez , vous ne serez pas déçu.

A propos

« Référencement pour PME » est, comme son nom l’indique, spécialisé ;-).. et oui, on ne veut faire qu’une seule chose : Assurer votre visibilité sur les moteurs de recherche.

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